Narcisse Anaman, député suppléant de la circonscription d’Alepé et membre du bureau de la jeunesse urbaine du PDCI-RDA a été interpellé le week-end dernier alors qu’il était sur le chemin d’Abidjan.

L’élection présidentielle en Côte d’Ivoire est prévue pour le 31 octobre prochain. A 4 jours de cette importante échéance, le président ivoirien, Alassane Ouattara semble avancer en roue libre vers un nouveau mandat.

La situation dans la ville de Dabou continue de capter l’intérêt des forces de sécurité. Dans un communiqué, la gendarmerie nationale a livré le bilan de ses opérations de ratissage.

Depuis la date d’ouverture officielle de la campagne pour l’élection du président de la République, des violences avec mort d’homme ont été enregistrées dans des manifestations contre la candidature d’Alassane Ouattara. Cette situation a fait réagir la Mission internationale d’observation électorale (MIOE) en Côte d’Ivoire conduite par Eisa et le Centre Carter.

Ces dernières semaines, le mot d’ordre de désobéissance civile lancé par l’opposition pour dénoncer les conditions de l’organisation de l’élection est rentré dans sa phase active. La violence qui accompagne les manifestations a poussé le gouvernement sous l’égide de la CEDEAO à diluer sa position.

Bongouanou, ville du centre-est de la Côte d’Ivoire a su se construire une belle fraternité. Cependant, cette cohésion est bouleversée par les crises politiques de ces dernières années. La violence qui s’est abattue sur la ville le week-end dernier a laissé des blessures profondes.

Hier alliés, aujourd’hui farouches adversaires, Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié sont face-à-face dans ce qui apparait comme le dernier acte d’une rivalité vieille de près de 30 ans.

La campagne pour l’élection du président de la République est ouverte en Côte d’Ivoire depuis le jeudi 15 octobre 2020. Avec le boycott du processus électoral lancé par deux des quatre candidats, cette phase d’ordinaire festive est émaillée de violences.

Alors que le processus électoral en vue de l’élection présidentielle est rentré dans sa phase décisive, les tensions politiques s’accentuent. Sur les 4 candidatures retenues, deux des principaux opposants ont lancé un mot d’ordre de boycott actif. Alassane Ouattara se retrouve pour l’heure face au seul Kouadio Konan Bertin.

Dans un communiqué de presse diffusé ce jeudi 15 octobre 2020, la mission d’observation conjointe EISA-Centre Carter s’est prononcée sur le processus électoral en Côte d’Ivoire. Elle a notamment mis l’accent sur les activités de « pré-campagne ».

Henri Konan Bédié a été reçu le mardi 13 octobre 2020 par le roi des Ashanti au Palais de Manhyia à Kumasi. Au terme de la rencontre entre les deux personnalités, le roi s’est exprimé sur son contenu

Prévue le 31 octobre 2020, l’élection présidentielle, suscite déjà des tensions dans le pays. L’opposition qui dénonce les conditions d’organisation pose des préalables notamment un audit international sur la liste électorale. Si cette proposition ne trouve pas un écho favorable auprès des autorités ivoiriennes, le Burkina Faso donne l’exemple.

Sauf changement, les ivoiriens seront invités le 31 octobre 2020 à se rendre aux urnes pour élire un nouveau président. Cependant, ce scrutin suscite des tensions dans le pays. Tensions qui ne sont pas ignorées par les partenaires extérieurs de la Côte d’Ivoire.

Depuis son accession à l’indépendance en 1960, la Cote d’ivoire a fait le choix de la démocratie. Cependant, plusieurs décennies après, le pays n’a pas encore connu de passation de charges en douceur au sommet de l’Etat.

Comme prévu, l’opposition ivoirienne a organisé ce samedi 10 octobre 2020 son « giga meeting » pour dire non à la candidature d’Alassane Ouattara. S’ils ont réussi à mobiliser leurs partisans, l’efficacité de l’action soulève des questions.

Passé dans l’opposition depuis quelques mois, Marcel Amon Tanoh ancien proche collaborateur du Président n’a pas porté de gants pour donner coups à son ancien patron. Cette posture a fait réagir ses anciens alliés qui lui ont donné la réplique.

Candidat à un 3e mandat, le président ivoirien Alassane Ouattara semble bien parti pour remporter la prochaine présidentielle. Si d’un point de vue stratégique il est en passe de boucler son affaire, les choses par la suite pourraient être plus compliquées.Candidat à un 3e mandat, le président ivoirien Alassane Ouattara semble bien parti pour remporter la prochaine présidentielle. Si d’un point de vue stratégique il est en passe de boucler son affaire, les choses par la suite pourraient être plus compliquées.

Prévue pour le 31 octobre 2020, l’élection présidentielle de 2020, suscite des tensions dans le pays. Les opposants demandent le report de ce scrutin et le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara. Dans ce contexte, une mission conjointe CEDEAO-UA-ONU était sur les bords de la lagune Ebrié.