« Contribuer à des élections crédibles en Afrique par l’amélioration des pratiques d’observation internationale », c’est autour de cette thématique que l’Institut électoral pour une démocratie durable en Afrique (EISA) a organisé son 15e symposium annuel à Abidjan les 23 et 24 novembre 2021.
La première année de son troisième mandat à la tête de la Côte d’Ivoire à peine terminée, le président ivoirien, Alassane Ouattara voir déjà se jouer en coulisses la bataille pour sa succession. Le chef de l’Etat qui aura 80 ans en janvier 2022 ne devrait pas prendre part à cette élection et ce, même s’il peut prétexter la « mise à zéro des compteurs » avec la nouvelle Constitution de 2016 pour briguer un 4e mandat.
Excellence monsieur le président. Je me permets de vous adresser ses quelques lignes pour vous lancer un appel de détresse. Monsieur le président, l’heure est grave à Toupah. Notre village, paisible cité de la belle région du Léboutou est confronté à une situation qui met en scène l’un de vos proches collaborateurs en la personne du ministre Emmanuel Essis Esmel.
La fidélisation du capital humain demeure cruciale pour de nombreuses PME car régulièrement en proie à des turn-over de leurs personnels. Les PME HONOR sont destinées à récompenser la fidélité des collaborateurs des PME à leurs employeurs et leur contribution à la croissance et au développement de celles-ci.
Élu pour un troisième mandat en octobre 2020, Alassane Ouattara a inscrit au nombre de ses priorités l’assainissement de la vie publique. Cette volonté de transparence et de bonne gouvernance a été tout d’abord matérialisée par la création d’un ministère dédié à la lutte contre la corruption.
Laurent Gbagbo et Pascal Affi N’Guessan sont désormais à la tête chacun de deux partis politiques différents. Le 17 octobre dernier, l’ancien président ivoirien a officialisé son départ du Front populaire ivoirien (FPI) avec la création du Parti des peuples africains de Côte d’Ivoire (PPA-CI). Selon lui, c’était la seule alternative pour continuer son combat politique. Et laisser le FPI à Pascal Affi N’Guessan.
On pourrait dire, sans exagérer, que le président Alassane Ouattara a décidé de mettre hors circuit tous les directeurs généraux des structures publiques suspectés de malversations.
En effet, depuis 2021, dans le cadre de sa politique de bonne gouvernance, le gouvernement ivoirien a diligenté des audits de plusieurs établissements publics nationaux (EPN).
Quand il accepte de nous rencontrer pour la première fois début novembre au Plateau, YS, la quarantaine et acteur comptabilisant plusieurs d’années d’expérience dans l’industrie forestière n’a qu’une envie qu’il nous expose en ces termes : « Mettre un grand coup de pied dans la fourmilière » afin d’assainir son secteur d’activités.
« Je voudrais tout simplement, sur cette question, dire que j’ai travaillé durant quinze ans dans le secteur privé avant de rentrer dans l’administration (...) Lorsque je suis revenu ici, travaillant toujours pour la même multinationale, au bout de quelques années, j’ai démissionné pour créer ma propre entreprise, un cabinet de consultant privé.