14 juil 2021 - 17:54
Par Franck Amarhall
Depuis quelques mois, se nourrir est devenu pour le citoyen moyen un casse-tête chinois en Côte d'Ivoire. Telle une réelle menace pour notre chère patrie. Pour tout être vivant, se nourrir est un besoin fondamental parce que vital.
C'est pour cette raison que le droit à l'alimentation est implicitement associé au droit à la vie. Car sans nourriture, l'être vivant court irrésistiblement vers la mort. Le droit de se nourrir chaque jour est un droit inaliénable. Et pourtant les prix des denrées alimentaires de première nécessité (lait, l'huile, le riz…) ne font qu’augmenter.
La déclaration universelle des droits de l'homme (DUDH) adoptée le 10 décembre 1948 par l'Assemblée générale des nations unies, stipule en son article 25 alinéa 1 : toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux.
Cela montre l'importance du droit pour tout Homme d'être à l'abri de la faim et le rôle de l'Etat à garantir ce droit. En définitive, une cherté exacerbée de la vie, dans un environnement de pauvreté ne peut que créé des tensions vives.
Souhaitons vivement que le chef de l'état de Côte d'Ivoire, son excellence AlassaneOuattara prenne ses responsabilités en tenantcomptes des réalités que vivent les Ivoiriens pour alléger leurs souffrances tout en Réduisant le coût de la vie en Côte d'Ivoire, ou le stabiliser suffisamment longtemps pour que l’augmentation des revenus redonne un marge de pouvoir d’achat aux ménages.
NON À LA CHERTÉ DE LA VIE EN CÔTE D'IVOIRE.
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