15 avr 2021 - 07:28
Par Gnamien Attoubré
Le 6 avril 2021, l’équipe gouvernementale a été dévoilée. L’une des grandes innovations est sans doute le départ de Kandia Camara du ministère de l’éducation nationale pour celui des affaires étrangères après dix années passées à la tête de ce département. Elle devient ainsi la première femme à tenir la diplomatie ivoirienne.
Son successeur Mariatou Koné a visiblement à cœur de marquer l’éducation nationale de son estampille. En effet, lors de la cérémonie de passation de charges qui s’est tenue le 12 avril 2021, elle a annoncé les États généraux de l’éducation. Cette annonce intervient à un moment où l’école ivoirienne se porte mal et reste miné par de nombreuses difficultés.
En effet, un préavis de grève était déjà sur la table avant son arrivée. Il s’agit de celui de la conférence des présidents des associations de fondateurs d’Etablissement Scolaires Privés Laïcs et Confessionnels de Côte d’Ivoire (CPAFESP).
Manitou Koné veut user de dialogue pour "pacifier" le système éducatif
Depuis plusieurs semaines, les membres de la conférence des présidents des associations de fondateurs d’Etablissement Scolaires Privés Laïcs et Confessionnels de Côte d’Ivoire ont décidé de procédé à la fermeture des établissements.
Le but étant de protester contre le non-paiement de leurs droits. Cette revendication porte sur la somme de 12 milliards de francs CFA. Saisie du dossier, la ministre Mariatou Koné a décidé de recevoir ladite association le lundi 19 avril 2021. Suite à cette annonce, les responsables d’Etablissement ont décidé de sursoir à leur mot d’ordre de grève afin de donner une chance à la négociation.
Visiblement la nouvelle ministre de l’éducation nationale et de l’alphabétisation a compris la nécessité de s’investir véritablement pour pacifier le milieu de l’éducation.
En effet, à travers les états généraux elle compte associer tous les acteurs du système éducatif dans la recherche de solutions viables. Mais les défis sont énormes. Il va donc falloir prendre le problème sur le bon bout si elle veut tellement imprimer sa marque sur ce ministère et permettre à l’école ivoirienne de retrouver des couleurs.
15 avr 2021 - 07:28
Par Gnamien Attoubré
Le 6 avril 2021, l’équipe gouvernementale a été dévoilée. L’une des grandes innovations est sans doute le départ de Kandia Camara du ministère de l’éducation nationale pour celui des affaires étrangères après dix années passées à la tête de ce département. Elle devient ainsi la première femme à tenir la diplomatie ivoirienne.
Son successeur Mariatou Koné a visiblement à cœur de marquer l’éducation nationale de son estampille. En effet, lors de la cérémonie de passation de charges qui s’est tenue le 12 avril 2021, elle a annoncé les États généraux de l’éducation. Cette annonce intervient à un moment où l’école ivoirienne se porte mal et reste miné par de nombreuses difficultés.
En effet, un préavis de grève était déjà sur la table avant son arrivée. Il s’agit de celui de la conférence des présidents des associations de fondateurs d’Etablissement Scolaires Privés Laïcs et Confessionnels de Côte d’Ivoire (CPAFESP).
Manitou Koné veut user de dialogue pour "pacifier" le système éducatif
Depuis plusieurs semaines, les membres de la conférence des présidents des associations de fondateurs d’Etablissement Scolaires Privés Laïcs et Confessionnels de Côte d’Ivoire ont décidé de procédé à la fermeture des établissements.
Le but étant de protester contre le non-paiement de leurs droits. Cette revendication porte sur la somme de 12 milliards de francs CFA. Saisie du dossier, la ministre Mariatou Koné a décidé de recevoir ladite association le lundi 19 avril 2021. Suite à cette annonce, les responsables d’Etablissement ont décidé de sursoir à leur mot d’ordre de grève afin de donner une chance à la négociation.
Visiblement la nouvelle ministre de l’éducation nationale et de l’alphabétisation a compris la nécessité de s’investir véritablement pour pacifier le milieu de l’éducation.
En effet, à travers les états généraux elle compte associer tous les acteurs du système éducatif dans la recherche de solutions viables. Mais les défis sont énormes. Il va donc falloir prendre le problème sur le bon bout si elle veut tellement imprimer sa marque sur ce ministère et permettre à l’école ivoirienne de retrouver des couleurs.
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