26 aoû 2021 - 10:54
Par Gnamien Attoubré
Le samedi 21 août 2021, la ville de Dabou a accueilli un séminaire de formation. Cette rencontre à l’endroit des utilisateurs des médias sociaux a réuni une vingtaine des jeunes et femmes est un initiative du Réseau des Femmes Web-activistes contre les Discours de Haine (REFWADHA) soutenue par le Programme des Nations Unies Pour le Développement (PNUD).
Le but de la session est de contribuer à réduire les risques de violences liées aux discours d’incitation à la haine et à la diffusion de fausses informations à travers une implication active des jeunes dans la prévention et la résolution des conflits.
Cette formation à la fois théorique et pratique a été meublée par une conférence inaugurale sur l'influence des discours de haine et des rumeurs sur la cohésion sociale prononcée par Blandine Angbako ainsi que cinq modules de formation et des travaux pratiques.
Blandine Angbako, Nesmon Delaure, Yvone Toba et Louise-Marie Yao-Klaourou ont assuré la phase théorique de la formation. Le volet pratique a été confié à Emilie Tapé et Roxane Ouattara. En outre, Kouamé Hilary, Web activiste et jeune bloggeuse UNICEF a partagé l’expérience qu’elle a acquise dans le domaine de la communication digitale.
Selon Marie-Louise Ycossie Coordinatrice nationale de ce réseau, ce projet répond à un souci de lutte contre les discours de haine en vue de contribuer au renforcement de la sociale.
Notons que cette activité n’est pas la première du genre. Le réseau a déjà organisé des sessions de formation dans plusieurs villes dont Yamoussoukro et Korhogo Pour la suite, le réseau espère pouvoir toujours compter sur le PNUD pour étendre ses actions afin de toucher le maximum de personne.
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